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La Belgique

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Le Taiji dans tous ses états !

Pour faire le point sur le tai ji quan en Belgique, nous citerons les écoles qui ont formé au moins une dizaine d’enseignants.

Par Georgette Methens-Renard



Extrait de la revue : Génération Tao n°22
Nb de pages : 1

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Descriptif

Pour faire le point sur le tai ji quan en Belgique, nous citerons les écoles qui ont formé au moins une dizaine d’enseignants.

La diaspora chinoise
Vers le début des années cinquante, il y eut en Belgique un petit début d’afflux de réfugiés politiques chinois. Un jeune étudiant en pharmacie, P. S., déjà ceinture noire de judo à l’époque, s’intéresse à cette discipline étrange et est initié aux arts énergétiques chinois dans des cercles très fermés de ces intellectuels réfugiés. Sans jamais enseigner son savoir autrement que par l’exemple, son rayonnement aura un retentissement important sur de futurs représentants du tai ji quan en Belgique.
Plus tard, fin des années septante (soixante-dix), fraîchement débarqué de Taïwan, arrive rendre visite à sa fille un vieil homme pratiquant du tai ji quan : Kuo Chi, disciple de Wang Yen-Nien. Il sera suivi moins de deux ans plus tard par un Américain, Sangeetam, ayant transité par Londres, et élève de Chu King Hung.
Tous les acteurs de l’essor du tai ji quan en Belgique sont là, présents et déjà potentiellement à l’œuvre.

L'influence américaine
Ils donneront, d’une part une souche taïwanaise dont est issue la Voie Intérieure de Vlady Stevanovich. D’autre part, l’Américain Sangeetam, posant son pied sur le sol de Eburondes renforcera l’élan de l’ITCCA (International Tai Chi Chuan Association) en Europe Occidentale. Il portera également sur les fonds baptismaux un chef de file qui se détachera du courant ITTCA pour se tourner vers la Chine en matière de codification d’enchaînements et rentrera en contact avec les grands maîtres des cinq différents styles majeurs : Eric Caulier.
En Flandre, se dessineront deux tendances : la première issue de la Chine Populaire et la seconde, de nouveau stimulée par Sangeetam, qui cette fois représente une orientation taïwanaise, mais dont la tête emblématique n’est autre que Cheng Man Ch’ing.

L'avenir
Comment vont évoluer ces groupes vers l’avenir ? Nul ne peut y répondre. Que restera-t-il de toutes ces écoles - dont certaines ont donné lieu à des professeurs très peu formés - quand l’effet de mode sera passé ou que la figure de proue sera décédée ? Quel est leur ciment en dehors du chef de file ? Quel est l’esprit d’équipe et de devenir qui anime leur école ?

Une tentative de rassemblement
Le législateur belge ne reconnaît absolument pas les arts martiaux chinois ni ne veut en entendre ...

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