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Le dessin guérisseur

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Génération Tao ouvre son espace rédactionnel aux nouvelles thérapies. Aujourd’hui, entre rituel chamanique et art-thérapie, tradition et modernité, Marie-Odile Brêthes nous fait découvrir une méthode qu’elle a elle-même mise au point pour libérer les bloc

Par Marie-Odile Brêthes



Extrait de la revue : Génération Tao n°18
Nb de pages : 3

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Descriptif

Des tankas à la psychologie humaniste
De tout temps, les lieux d’enseignement et de sagesse ont été décorés de tableaux, de sculptures, d’autels, d’objets symboliques et rituelliques évoquant les symboles d’archétypes “lumineux” qui encourageaient la psyché à s’élever vers le spirituel. Certains moines taoïstes pratiquaient des visualisations extrêmement codifiées par lesquelles leur esprit rejoignait sur certains plans de fortes énergies créatives. Ils faisaient appel à la puissance psychique des images et des symboles. Les bouddhistes ont également eu recours à la visualisation mentale pour appréhender des qualités représentées dans les tankas par des dieux ou des déesses symbolisant des archétypes d’amour, de sagesse et de compassion. Ils savaient que l’image et le symbole vitalisent notre psyché, alimentent nos pensées créatives et ouvrent notre cœur.
En élaborant ma méthode du dessin guérisseur, je suis partie du principe qu’en nous réside une sagesse que les psychologues humanistes nomment le Soi, qui nous envoie régulièrement des messages, nous appelant à nous transformer, à orienter nos énergies, notre conscience et notre personnalité, vers plus d’ouverture, plus d’amour, plus de collaboration dans ce monde. Notre Soi nous appelle à croître et à développer pleinement notre être afin d’incarner concrètement notre vie sur terre au travers de notre personnalité constituée de notre corps physique, de nos émotions, de nos désirs et de notre corps mental. Celui-ci va dévoiler le message de notre symptôme, de notre émotion ou de notre pensée limitative. Dessiner notre perception va ainsi permettre de mettre en image un ressenti flou, puis de poser des mots sur des symboles et des couleurs.

La puissance symbolique du dessin
Il n’est pas nécessaire de savoir dessiner pour utiliser cette méthode. Le dessin met en lumière ce qui demande à être, soit guéri, soit élargi, illuminé ou accueilli. Il révèle des mémoires anciennes (énergies arrêtées qui demandent à être guéries, c’est-à-dire écoutées et soignées), des qualités inconscientes (qui appellent à être reconnues et vitalisées) pour qu’elles puissent croître et s’épanouir en nous et autour de nous. Je propose donc, à partir du dessin d’origine, de transformer le dessin afin qu’il exprime, une fois terminé, le rayonnement de l’énergie guérie et vitalisée. Quand un aspect du dessin évoque des émotions de souffrances, des symboles de limitation, des rigidités physiques ou mentales, nous les enlevons du dessin en les découpant et nous les brûlons ; renvoyant ainsi à notre psyché un message ...

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