Descriptif
Aujourd’hui, il est plus que temps de se réveiller, de voir qu’il n’existe plus aucun endroit au monde qui n’ait été massacré par nos soins mondialistes et d’avoir le courage de s’ÉVEILLER dans ce creuset de pollution apocalyptique que nous avons nous-mêmes enfanté.
Nous ne voyons plus rien de ce monde. Nous ne voyons que des « peaux de grenouilles vertes », comme disent les Sages natifs Amérindiens pour imager le dollar (et les euros). Nous ne voyons pas un paysage, nous voyons une terre à exploiter. Quand nous regardons la vie animale, nous ne voyons pas un animal, nous voyons des « peaux de grenouilles vertes ». Quand nous rencontrons nos frères humains, nous ne voyons pas un homme, nous voyons des « peaux de grenouilles vertes »… Nous exploitons TERRE, AIR, VEGETAL, ANIMAUX, sans même un seul instant une pensée de remerciement pour les vies que nous prenons. NON, nous préférons souiller, appauvrir, empoisonner, sols et rivières, mers et océans et décimer tant d’espèces, sur terre, dans la mer et au ciel. Et nous nous réfugions, nous disant, ni tout à fait coupables, ni tout à fait responsables.
Et puis, un beau matin, OUPS ! Unième fait-divers, on nous apprend au détour d’un flash météo qu’une espèce végétale, animale ou bien encore qu’une ethnie entière va disparaître, leur environnement primordial étant réduit à néant par nos visions qui les menacent d’extinction ! Mais, aveugles, nous revendiquons notre droit à continuer à décimer, à exploiter tous azimuts pour une économie produisant dans le même temps, à l’autre bout du globe, de la misère et du travail épuisant et inintéressant. Comme si c’était le seul aboutissement de l’être humain et de l’évolution humaine sur cette terre.
Nous réfugiant encore et toujours en demandant, à une haute autorité religieuse ou politique, de nous montrer la voie. « Le travail conserve », la belle affaire ! Moi j’y vois l’impossibilité de laisser le moindre espace à la prise de conscience qui pourrait s’immiscer et remettre en question les valeurs de notre sacro-saint monde de « peaux de grenouilles vertes ». Pour la plupart d’entre nous, nous sommes complètement incapables d’agir et de penser par nous-mêmes, incarnant dans toute sa splendeur l’ETAT AGENTIQUE*. Que le jardin de notre enfance ait été semé de peurs ou de récompenses, liées à un père autoritaire froid, chaleureux, distant, proche, oppressant, absent, présent, violent, abuseur ou infanticide et/ou à une mère ...