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Perception, sensation, émotion

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Cette « chose » qui nous meut et nous émeut

Pour Gérard Guasch, notre perception du monde est conduite par nos perceptions, nos sensations et nos émotions. En s’appuyant sur Wilhelm Reich, les Taoïstes et les Chamanes Mexicains, il nous montre à quel point nous sommes émotion.

Par Gérard Guasch



Extrait de la revue : Génération Tao n°46
Extrait du dossier : Guérissez votre corps émotionnel
Nb de pages : 2

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Descriptif

La vie nous meut et nous émeut. Elle est comme un long fleuve, pas toujours tranquille, qui nous porte et nous emporte, nous fait sentir et ressentir. Intimement mêlées à notre vie psychique et corporelle, les émotions influencent notre perception du monde. Ce sont elles qui nous font voir la vie en rose ou broyer du noir. Sans émotions, notre vie serait grise, terne, morne, insipide.
Une émotion, comment ça marche ?

Réaction affective s oudaine, l’émotion

(du latin ex movere ; « porter hors de, mouvoir vers l’extérieur ») est mouvement ; mouvement d’énergie, mouvement de vie. Toute émotion produit un changement brusque dans notre corps, dans notre chimie intérieure. L'organisme reçoit tout à coup une quantité imprévue d'énergie et d'informations. Il réagit par la mobilisation non spécifique de l'ensemble de ses structures nerveuses et endocriniennes en une réaction d'alarme. Le cerveau émotionnel une fois activé, le système nerveux végétatif, qui agit par ses composants sympathiques et parasympathiques en une oscillation harmonieuse comme le Yin et le Yang, fait résonner sur l'ensemble du corps les émotions que l'environnement a suscitées. C’est alors que se présentent les manifestations affectives et corporelles : chaud, froid, tremblement, etc. que nous connaissons tous. Il est des émotions qui cessent, ou semblent cesser, dès la fin du stimulus qui les a provoquées. D'autres qui ne s'amortissent que très progressivement. Il en est aussi qui perdurent ou se trouvent périodiquement réactivées par des objets ou des représentations (conscients ou inconscients).

Le « cuirassement de l’organisme »
Face à l'ébranlement émotionnel, chacun a une stratégie existentielle qui met en œuvre des moyens propres d'adaptation et de défense, psychiques et physiques. Parmi ces derniers, certains sont connus de tous : retenir sa respiration, ravaler ses pleurs ou sa colère, serrer les dents, crisper les mâchoires, serrer les poings, bloquer son diaphragme, arquer le dos, tendre le cou, etc. Ces derniers concourent à ce que Wilhelm Reich appelle le « cuirassement de l'organisme ». Faute de pouvoir agir ou fuir, dans notre monde moderne le plus souvent nous réprimons. L’énergie qui n’est pas utilisée dans une action stagne ; elle peut devenir
source de maladie.

Assouplir la « cuirasse »
Cette idée, chère à Reich, se retrouve aussi chez les anciens Taoïstes. Ceux-ci insistent sur l’importance de maintenir la souplesse et la fluidité aussi bien dans l’esprit que dans le corps. Pour ce ...

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