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Gérer le stress de la rentrée par l’énergétique

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La rentrée de septembre est souvent synonyme de stress pour beaucoup d’entre nous : le retour des vacances, les démarches professionnelles, l’école et les enfants, mais quelle est la source de ce phénomène, ses effets et comment y remédier simplement ? Vo

Par Tina Nguyen



Extrait de la revue : Génération Tao n°34
Nb de pages : 3

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Descriptif

Vraisemblablement, le stress (tension) a existé de tout temps, car des agressions, l'homme en a toujours subi et y a réagi inconsciemment dans son organisme et son psychisme. Cependant, si ce terme anglais de «stress» (tension) fut introduit chez nous en 1953, dit le Robert, c'est bien parce que l'on éprouvait le besoin d'un terme nouveau pour désigner un phénomène ressenti comme nouveau, qu'il se soit accentué à notre époque ou que, simplement, on en ait pris davantage conscience. Bref, le 19e siècle avait connu le «spleen», le mal de vivre, et nous, nous avons le «stress».

Le stress puise dans nos réserves…
Le stress est devenu un thème familier. Il est considéré comme une pression excessive face à une situation donnée : rythme de vie, émotions, événement pénible, soucis, traumatisme, maladie, choc d'une opération, etc. Ces événements du vécu provoquent aussitôt des réactions multiples dans l'organisme, véritable usine biochimique. On enregistre une forte sécrétion d'adrénaline, commandée par la vigilance du cerveau, et produite par les capsules surrénales. Cette hormone se déverse dans le sang ; les effets apparaissent de façon bien visible : les pupilles se dilatent, le rythme cardiaque s'accélère, la tension artérielle monte ; ou bien d’une façon moins évidente mais démontrée : le sucre et les graisses affluent dans le sang, le tonus musculaire s'élève pour tenter de lutter contre la situation de stress. Mais cette mobilisation se fait au détriment des précieuses réserves de Ching-Chi : les énergies des reins, du foie, du cœur, du poumon, de la rate-pancréas, sont alors utilisées et se voient dilapidées si le stress pèse trop par sa durée ou son intensité. Les travaux du Dr Selye montrent que l'organisme ne disposera plus alors de l'énergie nécessaire pour entretenir membranes cellulaires et gènes (les réserves énergétiques, destinées à 80 % ou 90 % pour fabriquer l'ADN et l'ARN, cessent d'y pourvoir), ainsi que pour assurer la synthèse des protéines et la fonction immunitaire. Cela entraîne une vulnérabilité aux infections, mais aussi des maladies dégénératives comme le cancer. Après un état d'alarme, notre organisme connaît une phase de résistance avant de s’épuiser. Ainsi aujourd'hui, on incrimine le stress comme responsable de 70 à 80 % des maladies chroniques, cardiaques, digestives, métaboliques et nerveuses. Le Centre Psycho-analytique de New-York a mis en lumière que tout stress soumettant un individu à un degré aigu d'anxiété, était facteur cancérigène. Ajoutons que la résistance ...

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