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Vis ta vie

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Livre à l’usage des générations futures

Regard sur le dernier ouvrage de Charles Antoni : Vis ta vie. L’ « éveilleur » poursuit sa quête intérieure, son interrogation existentielle et nous montre le chemin.

Par Paule Orsoni



Extrait de la revue : Génération Tao n°40
Nb de pages : 1

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Descriptif

Ç a commence plutôt comme une sorte de cauchemar ou plutôt de constat qui ne laisse pas indifférent, puisque tout le monde comprend et tout le monde approuve : soyons honnêtes. Nous avons tous dit plus ou moins fort ou discrètement : « Les humains, c’est de la merde ». On peut donc s’attendre au pire : le monde est cacophonique, il n’y a pas de communication. En effet, « personne n’écoute personne et pourtant tout le monde veut être écouté ». Mais s’il n’y a rien à apprendre, pourquoi parler ? S’agit-il alors d’une invitation au silence ? Il se peut bien. Mais encore faut-il savoir de quel silence il s’agit. On en saura peut-être un peu davantage et somme toute, on l’apprend très vite : « On peut échapper à cet enfer… même si l’on n’en connaît pas la raison ». Il y a sans doute une aventure à tenter…
Alors commence cette promenade du rêveur qui va s’avérer solitaire à la fin du livre. Qui nous conduit au passage par l’idée que : « Tout peut-être dépassé, qu’il faut faire le deuil en riant de tout ce qui paraissait « grand » et qu’il y a un intérêt bien compris à passer outre. Dès lors les possibles s’ouvrent, il n’y a de « destin » que celui que l’on se forge. Nous ne sommes appelés qu’à ce que nous déciderons, si nous le voulons, à la différence de l’animal programmé. Il suffit de nous appeler nous-même et de répondre à notre propre appel. Si nous ne savons pas, encore, écouter l’autre, sachons nous écouter nous-mêmes. Voilà un possible identifié. Mais une fois cette certitude apparemment acquise, nous apprenons que nous sommes une « machine glandulaire », nous obéissons à ses ordres et nous prenons cela pour une véritable liberté : nous serions plutôt prisonniers du corps, ou du moins de la représentation fautive que nous en avons, celle « des intérêts soumis à la chair ». Plus loin Charles Antoni fera, en revanche, un éloge du corps. « Lieu sacré » : il devient alors « la nourriture de la conscience ». Est-ce cette interrogation qui traverse et travaille le livre depuis le début qui nous conduit sur la piste de « la tour d’ivoire » comme à une impasse ? Et comment se fait-il que nous soyons arrivés à cette solitude généralisée ? Voilà encore un constat ...

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