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Plaidoyer en faveur des écomédecines

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La médecine du futur sera écologique ou ne sera pas - Dominique Eraud

La médecine allopathique, si elle peut être performante dans certains domaines, ne peut pas être la seule médecine. Elle est limitée, coûteuse et crée de nombreux dégâts écologiques. Les écomédecines sont bonnes pour l’individu et pour la
planète et elles répondent davantage à nos préoccupations citoyennes.

Par



Extrait de la revue : Génération Tao n°66
Nb de pages : 3

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Descriptif



Le terme d’écomédecine est né à l’occasion de l’organisation d’un colloque à la faculté de pharmacie de Paris en 2005. Nous avions eu l’idée de réunir pour la première fois des thérapeutes, aussi bien médecins que dentistes ou vétérinaires, de chacune des spécialités suivantes : médecine traditionnelle chinoise, médecine ayurvédique, homéopathie, naturopathie, phytothérapie, ostéopathie, microkinésithérapie.

Les spécificités et les vertus
des écomédecines

« Eco », comme « écologie », car ces thérapies prennent en compte l’environnement extérieur et intérieur de l’individu, son hygiène de vie, son alimentation, son habitat, son mode de transport, ses conditions de vie, ses antécédents médicaux personnels et familiaux. Elles ont des points communs essentiels :
 Elles considèrent le patient dans sa globalité physique et psychologique ;
 Elles s’attachent moins au symptôme qu’à son origine ;
 Elles visent à renforcer le terrain et l’immunité ;
 Elles utilisent le concept de rééquilibrage énergétique ;
 Elles sont en harmonie avec le respect de l’environnement, en proposant des traitements à base de produits naturels et sans déchets toxiques ;
 Elles donnent une grande place à la prévention ;
 Elles sont sans effets secondaires ;
 Elles sont pour la plupart un patrimoine de l’humanité car elles reposent sur des traditions millénaires ;
 Elles correspondent aux définitions de la santé des grandes institutions. Ainsi, selon les statuts de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Selon la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, l’article 12.1 nous dit « reconnaître le droit pour toute personne de jouir du meilleur état physique et mental qu’elle soit capable d’atteindre ». Selon la Déclaration de Stockholm du 16 juin 1972 (Conférence des Nations Unies), « L’homme a un droit fondamental à la liberté, à l’égalité et à des conditions de vie satisfaisantes dans un environnement dont la qualité lui permette de vivre dans la dignité et le bien-être et le droit à la vie même fait partie des droits fondamentaux ». Le Parlement Européen, avec la résolution du A 460075 de 1997 s’est prononcé en faveur de la reconnaissance des médecines non conventionnelles dans les pays membres de l’Union Européenne. Poursuivons encore… Le texte de l’OMS, « Stratégies pour les médecines traditionnelles » (2002-2005), recommande aux Etats, d’une part pour les pays en voie de développement : le recours aux « médecines traditionnelles » à travers des ...

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